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21/07/2009

Circuit de Bresse, rencontre des sorciers

La rencontre des sorciers Abarth, Cooper, Gordini

 

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C’est un cube avec des roues aux quatre coins, on a l’impression que ça ralentit à peine à l’entrée du virage, ça vire quand même, à plat, puis ça sort à l’ accélération en martyrisant ses pneus avants et en sous-virant…..  Mais qu’est-ce que ça fait là !

 

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Il y a aussi ce drôle de petit pot rouge et gris qui démarre et roule avec un bruit à nul autre pareil, celui de son tout petit bi-cylindre,

 

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où bien encore cet élégant coupé italien qui m’évoque une case d’un album de Michel Vaillant consacré aux grandes heures du rallye : « rush ».

 

 

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            Mais oui, je ne rêve pas, elles sont là ces autos, entourées de nos habituelles Gordini. La rencontre des sorciers est devenue une réalité, elle s’est concrétisée. Oh, c’est sûr, une dizaine, voire une vingtaine de Cooper ou d’Abarth en plus, ça n’aurait pas dépareillé ! Remercions ici les courageux qui y ont cru dès la première édition, j’ai idée qu’ils n’ont pas regretté d’avoir pris leur courage à deux mains. Tant pis  pour les sceptiques, les « on verra la prochaine fois », les « t’y vas-toi ? », les « c’est sur j’viendrais »…. Pourtant, nous avons écumé les salons, distribué tracts et flyers sur différentes manifestations. Avec Jean-Phi nous sommes allé tourner avec les Minis, sur une sympathique rencontre de l’Esprit Mini Team, nous sommes allé à Savigny les Beaune, dans le fief Abarth français pour soigner notre prosélytisme…. Sans compter les messages laissés sur les différents forums.

            Merci aussi, bien sûr, à nos fidèles Gordinistes à l’esprit ouvert et merci à nos fidèles 5istes ou autres exclus du thème, de patienter jusqu’à l’année prochaine.

 

            Rendez-vous était donc pris pour le 4 juillet, aux environs de Lons-le-Saunier, pour le coup d’envoi du week-end. L’équipe du trophée logeait dans un grand gite, au calme absolu, au bout d’une minuscule route à une vingtaine de kilomètres de Lons et du circuit. On a beau être motivé, le réveil à l’aube est toujours difficile... La semaine de boulot dans les pattes, ce n’est pas un week-end de tout repos qui nous attend ! On a beau être tous anti-mazout, notre rythme de mise en route évoque plutôt le lancement paresseux de ces mécaniques laborieuses que les montées en régime de nos chères mécaniques…. ensorcelées. Heureusement, la descente sur Lons est assez directe. Malgré tout, c’est un parking déjà bien encombré de participants exacts au rendez-vous que nous découvrons à notre arrivée. Quel plaisir d’être ainsi attendus ! Pas le temps de faire le tour du parking du centre de contrôle Auto-sécurité de Périgny qui nous accueille pour ce départ, il faut distribuer sans plus attendre les « paquetages » ! Dans les sacs de notre partenaire, ICC Carène assurance, se trouvent le Road-book, la plaque rallye, les tickets des différents repas, un stylo et une petite miniature offerte par Norev.

            Départ au gré des participants pour les 130 kms prévus ce matin. Souvent apparemment sans lecture suffisamment attentive de la première case du Road-book ! Rares en effet seront ceux qui partiront bien comme indiqué par la sortie à droite du bâtiment ! Heureusement, le road-book, parfaitement rédigé par Jean-Paul, s’avérera en tout point parfait.

            A peine sorti des environs de Lons, on découvre de magnifiques points de vue sur les vignobles du Jura.

 

 

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Puis se succèdent petits villages, belles églises et sites remarquables, comme celui de Baume les messieurs.

 

 

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Petite halte bien sympathique au bar du chalet Lacuzon dont la déco, plutôt dévouée au quatre à plat refroidi par air, n’aura sans doute jamais vu autant de bleu d’un coup.

 

 

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Petit coup d’œil en passant au belvédère sur une partie des cascades du Hérisson : magnifique.

 

 

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Sans parler des routes, terrain de jeux infini de nos amis Jurassiens. Grand merci à Christophe pour nous avoir fait partager ses pistes d’entrainement ! On tourne, on tourne pour se rapprocher des Planches en Montagne, fief des Gordoches de la Langouette où l’on a rendez-vous pour le déjeuner. Bizarrement, on semble converger également vers un gros nuage noir menaçant. En effet, à peine le temps de partager un apéritif bienvenu après cette matinée ensoleillée, que les éléments se déchainent. L’eau tombe par paquets, presque à l’horizontal, sûr que les autos vont être bien rincées et gare à celui qui a mal fermé sa fenêtre.

 

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Avant la pluie

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Pendant l'averse !!!

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Du coup, tout le monde doit trouver refuge dans la salle municipale, c’est un peu serré, mais ça resserre les liens. D’autant plus que l’ambiance est très intime puisque l’orage a entrainé une coupure d’électricité. Dans ces conditions difficiles, l’équipe des Gordoches qui officie en cuisine et au service est exemplaire. Le repas est excellent et la prestation sans faille.

 

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Après ça, bien qu’une sieste eût été bien venue, c’est reparti pour 80 kms. Promenade au belvédère des 4 lacs où à celui du Pic de l’Aigle au programme. Paysages de cartes postales, table d’orientation et tournage. L’équipe dépêchée par Mille-Miles est en poste. Pas de chance, à la bifurcation précédant l’endroit où elle a choisie de se poster, un panneau d’indication est envahi par la végétation. Résultat, au moins la moitié des autos ne passera pas devant la caméra ! Caramba !

Retour tranquille au point de départ. Rapide break pour ceux qui le souhaitent avant de se retrouver à l’auberge de la Tour du Meix pour le repas du soir.

 

            Premier bilan rapide autour d’un sirop de menthe (Get27) ou d’un petit jus de fruit (la poire amenée par Jérôme) pour l’équipe du Trophée avant d’aller se coucher. D’autres testent les additifs locaux aux Planches ! Une belle première journée avant d’attaquer le plat de résistance du dimanche : la journée au circuit de La Bresse.

 

            Pour le réveil, pas mieux qu’hier ! Heureusement c’est une véritable spéciale qu’il nous faut parcourir pour rejoindre le circuit. Encore une récompense à nos efforts pour venir dans cette belle région.

            Accès au paddock, contact avec les responsables du circuit et présentation des commissaires en charge de la journée. Après un tour de circuit pour voir si tout est en ordre, une discussion s’engage sur la façon de faire entrer les voitures sur le circuit. Fort de nos précédentes expériences, nous leur avons déjà fait part de notre souhait de fonctionner en continu. Ils ne semblent pas chauds pour adopter cette solution, mais nous laissent tout de même faire en nous confiant le comptage d’un nombre maxi de 30 autos en piste pour une « période d’essai ». Tout se passera bien, et à aucun moment de la journée, l’attente pour entrer en piste ne dépassera quelques minutes. Pendant ce temps Richard assure l’accueil de la journée, remise des accès piste…

 

            Ouverture de la piste, les premiers prêts se précipitent. On regarde avec attention ces premiers tours de roues en cohabitation. Si les voitures ont chacune un comportement bien différent, tout se passe bien. Certaines Mini visiblement bien affutées ont bluffé les Gordinistes, même si il semble que ça se paye en fiabilité….

            C’est pour beaucoup les premiers tours de roues sur ce circuit. Première impression, les dégagements semblent confortables, ça met en confiance. Sortie des stands moderne à l’aide d’un feu tricolore commandé par le commissaire posté confortablement dans une petite guérite en bout de ligne droite des stands. Gauche large à 90° qui ouvre bien, tout de suite se replacer à gauche pour un large 180° très accessible au public et où le spectacle est garanti. Petit bout droit pour un droite rapide qui ouvre sur la ligne droite au fond du circuit, montée, sommet puis redescente vers le gros freinage du circuit qui conditionne un double droite en dévers. Ensuite, gauche rapide pour un droite serré en dévers, un passage délicat qui embarque alors qu’il faudra négocier dans la foulée un gauche qui passe sans problème si on a bien abordé le droite précédent ! Nouveau bout droit pour un autre gros freinage sur une épingle relativement large en sortie qui permet d’ouvrir, puis pif-paf rapide légèrement soulagé au milieu mais qui ouvre bien en sortie. On se replace à droite pour un 90° large qui mène vers une épingle serrée. Petit bout droit puis légère chicane sur le droit qui ouvre sur la ligne droite des stands. Puis le gauche du départ, mais sur lequel on arrive vite cette fois. Et c’est reparti pour un tour…. Finalement, un beau circuit, plutôt bien adapté à nos voitures.  

Au détour du paddock on remarque une superbe 1000 TC. Son pare-chocs et son capot jaune sont le signe de son appartenance à une Scuderia Turinoise. Son passé en courses de côte italiennes témoigne d’un beau pédigrée. A noter un détail amusant : si, en France, le contrôleur technique appose une signature à même l’auto ou sur un autocollant de l’épreuve, en Italie, le passage au contrôle était prouvé par l’apposition d’un plombage, ici apposé sous la colonne de direction…

            Nous interrompons quelques minutes les ébats sur piste pour la réalisation de quelques travellings par l’équipe de tournage de Mille Miles, toujours fidèle au poste. Quelques belles images de Cooper, Abarth et Gordini inter-changeant les positions derrière la voiture de tournage puis une séance improvisée de glisse par Christophe Bergoin, un exercice pas simple derrière une camionnette ! A coup sûr, un reportage qui constituera un beau souvenir de la journée (disponible avec le numéro de novembre de Mille Miles).

Parade dans la foulée, moment toujours incontournable de la journée, même si certains « contestataires » souhaiteraient continuer de tourner…. Il y aura tout le temps voulu l’après midi !

Pendant ce temps, la boutique du Trophée ne désemplit pas, il faut dire qu’un nouveau T-shirt, à l’effigie des 3 sorciers, est disponible, et évidement, il faut l’avoir dans sa garde robe !

Pause déjeuner dans la foulée et reprise des hostilités à 13h30.

On ne notera à ma connaissance qu’un incident regrettable : un concurrent qui ayant crevé sur le circuit s’est mis dans l’idée de rejoindre les stands en remontant à contre-sens dans l’herbe. Cette manœuvre ne lui suffisant pas, et voyant que sa crevaison l’empêchait de rejoindre son but, il est tout simplement descendu en bord de piste pour y changer sa roue ! La réaction des commissaires ne s’est pas fait attendre et la piste a été immédiatement évacuée ! Vertement tancé par les gens du circuit pour son comportement, cet individu s’est permis d’insulter ceux-ci. Un comportement inadmissible, spécialement d’un personnage se targuant d’être un vieux de la vieille et déjà remarqué pour son peu d’amabilité envers les gens de l’organisation ! C’est incroyable, mais il y a toujours un de ces personnages par meeting….

A part ça, les responsables du circuit nous loueront le bon comportement en piste de tous les concurrents. Les commissaires ont été ravis de leur journée, ils se sont régalés du spectacle, preuve d’une manifestation réussie où tout le monde s’est fait plaisir. Merci à tous les participants d’avoir pleinement contribué à la réussite de ce rassemblement.

Puis vint le moment de remballer, merci à tous ceux qui nous ont transmis leurs encouragements, ça fait chaud au cœur. Rendez-vous, nous l’espérons l’année prochaine, pour un lieu et une date à définir une fois les bilans de cette rencontre mis à plat. En attendant, notez sur vos tablettes notre journée à La Châtre à l’occasion de notre assemblée générale, le 31 octobre.

 

19/05/2009

Sortie gentlemen drivers Esprit mini Team

Répétition pour la rencontre des sorciers 4&5 Juillet, Circuit de Bresse

(n'oubliez pas vos inscriptions, bulletin téléchargeable ci-contre à gauche, rubrique engagement n°18 & n° 19)

 

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Au Trophée, notre dévouement est sans faille, aussi, c’est sans hésitation qu’avec Jean-Phi, nous nous sommes dévoués pour aller, en territoire ennemi (un endroit infesté de tractions anglaises à moteur transversal, ouh !), porter la bonne parole pour la rencontre des sorciers !

 

 

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Départ bien matinal pour un rendez-vous sur la N4 à 7h30 en direction du circuit de la Ferté Gaucher pour la journée Gentlemen Drivers de l’Esprit mini team. Ce n’est pas le moment que je préfère, la sortie du lit, surtout lorsqu’elle est accompagnée du bruit des gouttes sur le velux, c’est pas facile ! On y va par la route, comme à la grande époque ! C’est pas si loin de toute façon, environ 80 km de Paris Est.

Au début, le temps est mauvais, c’est bien humide et étonnamment glissant !

 

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Ensuite ça évolue, et ça devient exécrable, à telle enseigne qu’on a l’impression que la nuit retombe !

 

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Arrivée sur le circuit, c’est confirmé, c’est bien un temps à tractions anglaises ! On est bien accueilli, et on nous porte nos autocollants et le planning des cessions de la journée jusqu’à la voiture. On trouve une place dans le paddock, un peu au fond pour faire discret, on n’arrive pas à s’aligner, ça dépasse !!! Elles sont vraiment courtes leurs autos !

 

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Briefing avec distribution des participants dans chaque cession. Il y en a cinq, pour des séries de 10 min. 6 ou 7 voitures par série et ça va s’enchainer sans problème toute la matinée, sauf l’avant dernière lors de laquelle une mini marcos bloque la boite sur le circuit ! Dommage, ça va nous priver d’une cession. On récupère les Tee-shirts compris dans l’inscription, une attention sympa ! D’autant plus que les créations de teeshirt motors sur le thème mini sont très sympa.

Mise en condition tout de suite, dès les premières séries deux minis rentrent un poil rectifiées, façon puzzle, l’aile avant droite de l’une s’emboite parfaitement dans la porte de la seconde ! Bon, bah va pas falloir les chercher alors !

Jean-Phi a amené des roues pour le circuit, oui, mais seulement deux ! Il me demande où je pense qu’il est préférable de les mettre ? Devant ! sans hésitation, le sous virage, c’est la preuve que dieux n’existe pas disait François Chatriot, alors mettons tous les atouts de notre côté pour le combattre.

 

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Première série, détrempée ! Tient c’est marrant, la presque totalité de la surface du circuit est irisé. Huile, essence ? Ca serait donc pas étanche une mini ? C’est holiday on ice ! Je suis Jean-Phi, c’est un régal à regarder, il en a de la chance d’avoir des pneus avant si efficace, moi, il faut vraiment que je m’applique au transfert de masse, freinage prolongé pour trouver un peu d’adhérence sur l’avant, histoire que ça tourne correctement. Mais une fois inscrite, quel plaisir !

On est en fait sur une moitié du circuit de la ferté Gaucher. Une partie assez tortueuse d’environ 1,7 km. Ca tourne dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.

 

 

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Départ, un petit bout droit, le raccordement, et un virage à 90° qui ouvre sur une portion de la piste plus large, 200 m, pif-paf qui passe à fond, du moins dans cette configuration du circuit, 400 m, gros freinage pour une épingle gauche en deuxième. Puis un grand droit interminable, freinage en entrée pour, à priori, le passer en deux fois, on va chercher à l’extérieur puis ça ouvre, ce qui nécessite de passer une vitesse dedans en appuis. A peine la 4 passée qu’il faut freiner fort, en fin d’appuis pour une autre épingle gauche.

 

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Bout droit, puis un pif paf beaucoup plus marqué que le premier et qui donne directement sur un gauche serré le long de l’entrée des stands. 200m droite à 90° à la fin duquel on doit freiner en appuis pour le gauche du raccordement, sympa de sentir la voiture partir légèrement dans le sens inverse avant de la rebalancer  dans le gauche ! bien sur il faut la tenir... sinon :

 

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Tous ça nous conduit à l’heure du déjeuné. La restauration est possible sur place, avec sandwichs, boissons, crêpes, pannini…. Bon, nous on avait prévu le pique nique, il suffit juste de trouver un peu d’abris pour le vent, car la pluie a finie par se calmer. On profite de la pose pour faire un peu d’essence, c’est pas que l’on a beaucoup consommé dans ces conditions, mais Jean-Phi n’a pas le réservoir avant !

C’est l’occasion de discuter avec des possesseurs d’Abarth (A112 et 595 SS) déjà croisés sur le salon de Reims. Une sympathique équipe qu’on devrait avoir le plaisir de voir les 4 et 5 juillet « aux sorciers ».

 

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On fait aussi le tour du parking visiteurs où on peut étudier à loisirs les différentes versions de mini produites et les évolutions au cours de la production, avec par exemple, une 1275 GT,  

 

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un pick-up, un break,

 

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des Innocenti cooper, où même une Riley Elf,

 

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sans parler des différents millésimes !

 

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Sur la piste il y a quelques engins bien méchant, boite taille droite, mini marcos, break de course, motorisations pas très catholique…. Un bel ensemble hétéroclite. Pour ma part, j’ai tout de même une nette préférence pour les série 1 à la mode rallye des années 60 où leur évocations.

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Ca repart pour l’après midi avec une piste nettement plus sèche, les dérives et les freinages sont moins hasardeux, c’est sympa aussi.

 

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Bravo et merci aux commissaires, des membres du club Esprit Mini, pour leur efficace présence et leur sympathie, j’ai cru comprendre qu’on en verrait certains également en juillet, ce sera avec plaisir.

 

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Bref, une journée fort sympathique qui nous a donnée un avant goût de notre rencontre estival, ça promet……Elles sont pas mal ces p'tites autos !!!

 

Pour le Trophée, Christophe

07/05/2009

Classic Days

002 Fine équipe.jpgC'est finalement en touristes que nous nous sommes rendu au Classic Days. Juste pour se promener.

J'ai longtemps hésité à savoir si j'allais m'inscrire pour tourner et j'ai finalement renoncé ! Partir la veille, avec la remorque, rentrer tard le samedi soir ou dormir une nuit de plus sur place....

C'était trop pour cette fois. D'autant plus que nous tournons avec Jean-philippe le 17 sur le circuit de la Ferté Gaucher avec les minis !

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Donc départ tranquille vendredi matin, par la route, la nationale 7 ! Fontainebleau, Nemours, Montargis, la Scelle-sur-loire, Cosne-sur-loire, Briare, Sancerre, Nevers, Magny-cours.... Un voyage qui fleure bon les départs en vacances années 60 et 70 !

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La route fut un plaisir, agrémentée cependant d'une bonne demi douzaine de radars fixes et d'une paire de jumelles (merci pour les appels de phares).

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Arrêt dans une boulangerie choisie au hasard de la route, il s'averera lorsque je montrerai les photos à un copain que c'est celle de sa tante ! Incroyable coîncidence...

Arrivée au circuit du coup un peu tardive, on se range auprès de la Gorde d'Hubert Rage, un des rares adhérent du trophée à avoir répondu à l'appel. Vous avez eu tort ! Même si cette année, on voit que ça a bien grandit, pas de distribution de casquette ni de porte clef contrairement à l’année dernière !

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On salut Jean-Marc Oudry et Yannick Buffart qui se sont inscrit pour tourner, les fidèles de la 12 Gorde, Jean-Pierre Gaihlac et Olivier Jeantils ainsi que quelques Dingo Gordo Nivernais venus en voisins. On fait une bise à Joël, fidèle au poste avec ses miniatures, et à la famille Depléchin et leurs vitrines.

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Pique nique sur le circuit, avec les baguettes bien alignées sur les bandes de la Gorde et on se prépare en installant la jolie plaque rallye sur la voiture. Puis on se met dans la file pour le départ du « Classic tour » .

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Y’a bien une petite centaine de voitures. Passage sous l’arche et arrêt obligé auprès du commentateur ! L’occasion de dire quelques mots sur notre « rencontre des sorciers ». Bien sur c’est improvisé, ce qui me vaudra quelques vannes des bons copains !!!

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Le road book n’est pas trop compliqué (où le copilote excellent ?!). Pour tout dire le parcours n’est pas très sélectif comme dirait un de nos éminents membres ! Pas facile de trouver des routes qui tournent bien dans les environs apparemment. Comme sur chaque parcours de rallye touristique, il y a la route que la DDE a choisie de refaire justement cette semaine là ! On dirait que les préfectures leur transmettent les tracés !

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L’arrêt dans le charmant village d’Apremont-sur-Allier est apprécié, l’occasion de faire de belles photos des autos présentes. Ce qui permet de juger de l’éclectisme de la caravane, ce qui est bien plaisant.

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Tout juste retourné au circuit et on se prépare pour la parade. Le temps d’apprendre un incident regrettable : sortie sur l’huile répandue par une Alpine A310, une R12 Gordini coincée dans un bac à gravier s’est fait percutée par une Alfa GTV. Les dégats sont malheureusement importants. C’est les risques du circuit bien sur, mais c’est triste quand ça arrive. Tout notre soutient à son propriétaire pour avoir le courage de lui rendre sa superbe.

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Immense embouteillage sur le circuit, plus de 420 voitures présentes. Quelques bobines ne supporteront pas la marche au pas ou les arrêts au ralenti prolongés.

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On fait un tour des parkings, du village marchand et des stands avant de se rendre à l’apéritif et au repas du soir.
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Là encore on peut s’apercevoir de l’ampleur prise par la manifestation. C’est au moins 4 à 5 fois plus grand que l’année dernière. Evidemment du coup, le côté convivial y a perdu ! Les buffets sont pris d’assaut et les serveurs ont bien du mal à assurer un ravitaillement équitable !  

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L’orchestre fait tout ce qu’il peut, mais l’acoustique n’est pas facile. Malgré tout on se régale du répertoire « Classic Rock » choisi. Aller au lit.

Le lendemain, toujours en mode touriste, on refait le tour en prenant plus son temps. Les parcs sont bien garnis,

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y compris celui des spectateurs venus en anciennes qui vaut le détour.

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On se régale des stands et de la pit-lane ouverts librement (un des gros atouts des Classic Days). De la diversité des autos présentent, du circuit et….  Du beau temps Nivernais !

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Puis retour tranquille par la même champêtre (au départ) route, on accélère juste ce qui faut pour décrasser les Webers de temps en temps… Ah oui, alors quand même, ça marche…..

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Aller, c’est sur, l’année prochaine on se fait un convoi d’une dizaine d’autos pour y descendre, n’est ce pas Richard, Thierry, Jean-phi, Jean-Mi, Jerôme, Michel, Jean-Claude, Christian, Mathieu, Kony, Nico, Bertrand…..

A bientôt, et n'oubliez pas votre bulletin pour la rencontre des sorciers !!!

Pour le Trophée, Christophe.

 

PS : Encore merci aux potes qui sont toujours partant, pour cette fois ou pour les autres, passées ou à venir !

20/03/2009

Bulletin "La rencontre des sorciers"

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Le bulletin d'inscription à la rencontre des sorciers les 4&5 juillet 2009 est enfin disponible.

Vous pouvez le télécharger ci-contre, rubrique engagement, document n°18 et 19. Pour nos habituels participants, un courrier sera envoyé très prochainement (fin mars).

Nous vous invitons à bien lire le réglement et nous vous rappellons notamment les points suivants (dictés par les réglementations actuelles) :

- Pots pistes interdits

- Attestation d'assurance obligatoire (licence FFSA pour les protos)

- Pas de spectateurs (3 accompagnateurs maximum par voiture engagée)

N'oubliez pas la photo de votre auto (si vous êtes également dessus c'est encore mieux), une enveloppe timbrée à vos nom et adresse pour la confirmation (si vous n'avez pas d'adresse mail).

Et n'oubliez pas, nous vous attendons aussi aux Classic days sur l'espace du Trophée ! (bulletin également disponible ci-contre).

 

Gordialement

05/03/2009

Renaissance ?

Renaultstalgie : le retour de Gordini ?

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Alors que les larmes versées sur le presque retour d’Alpine, sacrifié sur l’autel de la crise économique, ne sont pas encore sèches, voici que nous arrive de Genève via le site du magazine britannique Car une nouvelle qui fera office de lot de consolation tout a fait présentable : Renault va ressortir en 2010, pour l’Europe, l’appellation Gordini.

Le nom du “sorcier” du boulevard Victor, qui à la façon de Carlo Abarth avec Fiat lia la dernière partie de sa carrière à Renault (lire à ce sujet le très intéressant post consacré aux deux hommes par Joest), n’a jamais été complètement abandonnée par le constructeur qui l’utilisa en Grande-Bretagne bien après que le blason eut quitté la malle arrière des Renault françaises. Selon Car, qui cite le chef du marketing global de Renault Stephen Norman, c’est très bientôt l’Europe tout entière qui reverra des Gorde, en commençant par une Twingo Gordini l’année prochaine avant une Clio et un Mégane Coupé.

On ne peut évidemment pas s’empêcher de penser que l’impact d’Abarth, relancé en grande pompe et avec succès par Fiat, a donné des idées chez les marketeurs du constructeur français. Les modèles frappés du sigle Gordini ne remplaceront pas les déclinaisons Renault Sport, mais viendront se situer au-dessus. Pourquoi pas. De toute façon, l’apposition de deux bandes blanches longitudinales sur une carrosserie n’a jamais fait de mal, bien au contraire.

Source: Le blog auto, Car Magazine

Image : Dauphine Gordini, Lucien et Gillou, par Dominique Mufraggi d’après Frank Margerin.

Lire également:
Pas d’Alpine pour Renault, finalement

A vos commentaires....